Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Le blog de le journal de campagne de KIKI DU 78
  • : Cet espace est réservé à des informations souvent ignorées par les " grands " médias, et à divers sujets d'actualité , en vue d'échanges de points de vues.
  • Contact

Recherche

Liens

26 mai 2013 7 26 /05 /mai /2013 10:02

 

 

www.ecologie-radicale.org

 

 

La lettre de Gérard CHAROLLOIS          le dimanche 26 mai 2013

TEL 06 76 99 84 65

 

 

          La preuve par la corrida.

 

 

 

Comme la chasse est la mort loisir, la corrida est la mort spectacle.

Dans ces deux activités non seulement l’animal est nié dans sa qualité d’être sensible, mais il est torturé, tué en raison même de cette sensibilité .

Car, sans effroi, sans la peur et la douleur, sans l’inquiétant plaisir de supprimer une vie, ces rites n’existeraient pas.

 

 

 

L’homme, par avidité, cupidité, indifférence fruit de l’habitude, fait de sa planète un enfer pour les autres animaux.

Pour s’enrichir, accroître ses connaissances biologiques notamment, l’espèce humaine s’est arrogé le droit d’exploiter, de marchandiser les animaux, les transformant, au besoin en « matériel de laboratoire ».

A défaut d’excuses pour ces crimes, l’homme avait des explications qu’il pouvait imaginer rationnelles.

Dans la chasse récréationnelle et dans la corrida, l’homme se révèle en animal pervers.

 

 

 

 

La corrida dépasse en horreur tout ce qu’inflige à des êtres sensibles certains humains qui ont  oublié de l’être.

Rien ne justifie que durant vingt minutes, dans un rituel d’opérette grotesque, des individus, bardés de fer, perforent et torturent jusqu’à la mort un taureau, nullement « de combat », mais simple herbivore.

 

 

 

Ici, pas d’alibi économique, pas de nécessité de faire progresser la science, de nourrir des populations.

La souffrance est érigée en spectacle et sans elle il n’aurait pas lieu.

Le taureau doit souffrir pour que la foule apprécie, faisant de cette agonie une jouissance.

Alors, l’homme de conscience s’interroge sur la raison d’être de cette abyssale cruauté.

Ecartons la littérature de pacotille sur le côté « combat » de la corrida.

Un taureau pesant cinq cents KG ne tue pas pour se nourrir et sa force musculaire, son éventuelle agressivité ne visent qu’à protéger, dans la nature, les troupeaux de vaches.

Son attitude n’est que de pure défense et il n’a pas le goût du sang, contrairement à ses tortionnaires.

Dans l’arène, il n’y a pas combat puisque le résultat est connu d’avance.

Le torero ne manifeste aucun courage physique en rencontrant sa victime, au demeurant amoindrie préalablement et s’il advient, comme dans toute activité, des accidents, ceux-ci sont plus rares que dans de nombreux sports.

 

 

 

Et pourtant, deux philosophes professionnels qui tentent de justifier la tauromachie invoquent  ce « courage ». Approfondissons la réflexion sur la nature de ce « courage ».

 

 

 

Pour nos deux philosophes, intervenant sur France CULTURE, la « corrida exige des qualités perdues dans notre civilisation ».

Ils disent « qualités » et je les retrouve sur ce terrain mais qualifierai de tares ce qu’ils appellent « vertus ».

Pour  transpercer, mutiler, tourmenter, poignarder un être sensible acculé, il faut en effet un inquiétant « courage » : Celui consistant à abolir en soi les qualités humaines pour revenir à un état brutal, primaire, oublieux de la sensibilité.

Ces « qualités » ne font pas l’homme mais le guerrier, le tueur, le génocideur qui constitua un stade de notre évolution.

 

 

La corrida nie le processus d’hominisation en cours, celui qui nous permet de vaincre l’instinct de mort dans lequel les réactionnaires croient voir les valeurs viriles et sauvages de notre nature profonde.

Le vrai courage consiste inversement à répudier la violence, à cultiver l’empathie, à aimer la vie et non la mort.

 

 

Abolir la corrida, c’est apprendre le respect des taureaux mais aussi des humains qui valent mieux que ces « héros de sang et de haine ».

L’homme contemporain demeure-t-il un animal dangereux ?

Oui et vous avez la preuve par la chasse, la corrida, le terrorisme.

 

 

         Gérard  CHAROLLOIS

 

 

CONVENTION VIE ET NATURE

MOUVEMENT D’ECOLOGIE ETHIQUE ET RADICALE

POUR LE RESPECT DES ËTRES VIVANTS ET DES EQUILIBRES NATURELS.

 

 

Partager cet article
Repost0
24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 13:33

Michel Pourny ( le talentueux photographe qui ne manque aucune manif. ! ) nous offre gracieusement ses photos. Vous pouvez les diffuser ( elles sont libres de droits à condition qu'elles soient signées, tant sur Internet que sur support papier ).
Voici donc quatre liens vers l'intégralité de son reportage des manifestations d'Alès les 11 et 12 mai 2013 : :

Avant la 1ère manifestation à Alès le 11-05-2013 :
http://min.us/mbpviggn4nJyGA

1ère manifestation à Alès le 11-05-2013 :
http://min.us/mbid65DP2eFwUa

2e manifestation à Alès le 12-05-2013 :
http://min.us/mZhsbD0H5079a

3e manifestation à Alès le 12-05-2013
http://min.us/mbpkvE7j4Jt6Jf

Régalez-vous !

 


Partager cet article
Repost0
23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 11:56

 

 

hs-malbouffe-couv.jpg

 

 

 

 

 

 

En 1948, Charles Trénet chantait «Qu’y a-t-il à l’intérieur d’une noix?». Aujourd’hui, il aurait de quoi écrire un album entier. Et ça ressemblerait moins à de la poésie qu’à une formule chimique et mathématique.
C’est ce que vous propose de découvrir ce hors-série, qui explore le monde merveilleux de la bouffe industrielle, de ses lobbies, de ses barons et de leurs magouilles financières, de ses adjuvants aux noms savants et incompréhensibles — c’est préférable —, de ses effets comiques sur notre santé et de son riant avenir qui se fout bien du nôtre. Mais, comme il faut tout de même espoir garder, il y est également question des solutions, car il y en a, pour s’affranchir du gavage aux pesticides et aux édulcorants de synthèse. Car, désormais, il ne s’agit plus de manger pour vivre, mais de rester vivant en mangeant.

 

 

Acheter le hors-série

Consulter le sommaire du hors-série

 

 

L'édito de Fabrice Nicolino, auteur du Hors-série

 

 

La mise en scène était succulente. Quand on a commencé à parler du prétendu «scandale de la viande de cheval», au début de février 2013, on a compris qu’on avait affaire à de grands acteurs comiques. La palme au ministre de l’Agriculture, Stéphane Le Foll, déclarant sur RTL le 11 février: «Je découvre la complexité des circuits et de ce système de jeux de trading entre grossistes à l’échelle européenne.» Le Foll est l’un des très rares politiques à connaître l’univers de l’agriculture. Non seulement il est petit-fils de paysan, mais, en plus, il a en poche un BTS agricole et a enseigné l’économie dans un lycée agricole breton.

 

 

Donc, il se fout de nous. Mais pourquoi à ce point-là? Parce que l’industrie de la bouffe est en France intouchable. Elle est de loin le plus gros employeur de notre pays de chômeurs, avec 500000 emplois directs, dont la plupart ne sont pas délocalisables. La viande est au cœur du système. Et c’est pourquoi il n’était pas question d’ouvrir le vrai dossier, celui d’une industrie devenue si folle qu’elle paraît incontrôlable.

 

 

Au début était pourtant la nourriture. Les panthéons du passé sont pleins de divinités qui la représentent. Ne parlons pas des Grecs, saoulés d’ambroisie, ni des Romains, qui offraient à leurs dieux d’interminables gueuletons. Chez les Slaves, avant que n’arrivent les curés, Zywienia, déesse de la bouffe, couchait avec Radogast, dieu de l’Hospitalité. Pas si mal. Et Kokopelli, le petit dieu des Indiens Anasazi, cachait dans sa bosse éternelle des plantes et des graines. Mais tout cela c’était avant le Grand Progrès.

"autoroutes de la bouffe contre départementales de la nourriture"

 

 

La révolution industrielle n’a pas seulement inventé la machine à vapeur, l’usage du pétrole, les abattoirs de Chicago, la bagnole individuelle, la chimie de synthèse et le téléphone portable. Elle a pulvérisé les anciennes manières de se nourrir. Ce que vous allez lire dans ce hors-série de Charlie n’est qu’une évocation dont vous ne sortirez peut-être pas tout à fait indemne. C’est en tout cas tout le mal qu’on vous souhaite. Car l’apparition des transnationales de la bouffe a changé en simple marchandise ce qui était jadis cadeau des cieux et travail des hommes. Désormais, il faut cracher du flouze. On a vu comment Findus, qu’on croyait un gentil cuisinier, appartenait en réalité à un fonds de pension, exigeant une rentabilité financière d’au moins 8% l’an. La bouffe est une industrie, mondialisée, financiarisée, aussi sympathique que les hedge funds et les subprimes qui ont précipité la crise de 2008. Faut-il ajouter que cette industrie se contrefout des questions de santé publique, qui ne sont évidemment pas son problème? Elle surajoute, par exemple, du sel dans tous les plats qu’elle nous fourgue, car cela augmente leur poids, multipliant le profit. Bilan? 25000 morts par an en France, comme le clame dans le désert le chercheur Pierre Meneton.

 

 

Cargill, Monsanto, Nestlé, Danone font la loi parce qu’ils pèsent davantage que la plupart des États de la planète. Et les gendarmes du monde, comme l’Organisation mondiale de la santé (OMS), regardent ailleurs, quand ils ne sont pas manipulés ou infiltrés par les grands lobbies industriels.

 

 

L’histoire que raconte Charlie est sinistre, mais elle fera rire, car il ne nous reste plus que cela, en attendant mieux. Sauf révolte massive de la société, pour l’heure improbable, la machine continuera sa route. Pendant que nous montrons notre impuissance à seulement contrôler le sucre, le sel, le gras, les pesticides, les colorants, les conservateurs, les ingénieurs de l’industrie avancent. Leurs labos nous concoctent de la viande sans animal, ou de la bidoche clonée, ou encore des nanoaliments — taille: un milliardième de mètre — capables de traverser tous les tissus vivants, cellules comprises. Où sont les études sur leur toxicité ? Nulle part. Elles n’existent pas. Elles viendront peut-être, mais quand il sera trop tard.

 

 

Y a-t-il une autre voie? Plus d’une, en réalité. Le mouvement Slow Food, l’agriculture bio, l’alimentation des Karens de Thaïlande, le végétarisme montrent que nous ne sommes pas condamnés à subir la loi des marchands. Mais pour échapper à la bouffe industrielle, il faudrait commencer par accepter de payer le prix réel des aliments. La plupart d’entre nous préfèrent acheter un téléphone portable que de s’acheter du vrai pain et de vrais fruits. La publicité a parfois bon dos, qui permet d’échapper à des questions bien plus dérangeantes. Pour sortir de ce système infernal, il faudrait commencer par relever la tête. Pour l’heure, nous avons la gueule enfoncée dans l’auge.

 

 

Plus d'iinformations ici http://www.charliehebdo.fr/news/bon-appetit-811.html

 

 

 

ET plus sur : 

 

 

 

 http://www.generations-futures.fr/?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=Une_manifestation_pour_résister_et_une_victoire_à_célébrer

 

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
22 mai 2013 3 22 /05 /mai /2013 17:01

 

 

Je vous invite à prendre connaissance du communiqué de presse d'Aurore Lenoir, coordinatrice du NARG...

 

 

 

COMMUNIQUE DE PRESSE - NARG – 21 05 2013

 

 

Madame la Préfète menacée, le NARG accusé !

 

 

 

 

Ce matin, l’un de nos bénévoles était entendu par les services de police de Guéret, concernant des menaces faites à l’encontre de la nouvelle préfète de la Creuse, Mme Mallemanche. 

 

 


Cette dernière aurait reçu une lettre anonyme comportant des menaces graves. L’objectif de ce courrier est le refus du projet d’abattoir rituel de Guéret. Cependant, son contenu est clairement xénophobe et se trouve très éloigné des propos tenu par le NARG. Il a été dit à notre bénévole que tous les membres actifs du NARG seraient entendus et que l’on ne nous lâcherait pas. 

 

 

 


En premier lieu, le NARG se défend de toute implication dans cette affaire. Nous condamnons fermement cet acte, que nous jugeons stupide, contre-productif et lâche. Nous signons nos courriers et portons nos revendications à visage découvert, nul besoin de menace anonyme pour nous faire entendre. 

 

 


En second lieu, nous sommes outrés que de tels propos puissent être apparentés au NARG qui a toujours clamé son apolitisme et l’a maintes fois prouvé. Nous n’avons aucun lien avec l’extrême droite, nous le proclamons et continuerons de le faire tant que cela sera nécessaire. Nos revendications sont clairement énoncées sur nos supports de communication et ne représentent, en aucun cas, une quelconque attaque envers une communauté. N’en déplaise à Monsieur Vergnier, la souffrance animale peut être une raison suffisante pour s’opposer à un tel projet ! Ce sont bien plutôt lui-même et certains médias qui font le jeu de l’extrême droite et s’emploient à une publicité non justifiée. 

 

 


Le NARG est, bien entendu, prêt à collaborer avec la police afin que le coupable soit, au plus vite, découvert. 

 

 

 


A présent, nous posons une question : Quand allons-nous cesser d’être pris pour cibles par des accusations et des soupçons sans fondement, tout juste bons à « noyer le poisson » pour éviter le véritable sujet ? Quand allons-nous avoir des réponses claires de la part du Député Maire de Guéret ? 
Nous préparons deux nouvelles actions locales pour le mois de juin puis un évènement national pour la rentrée prochaine.

 

Résistance !

 

 

 

Aurore Lenoir, coordinatrice - www.collectif-narg.info - collectif.narg@gmail.com.

 

           Voir la pétition    

 

 

 

Coordinatrice du Collectif N.A.R.G.
 Contre l'abattage à vif et pour l'abandon du premier projet européen d'abattoir exclusivement rituel.

07 88 35 06 10

 

548294_360178810730065_1071989973_n.jpg

Partager cet article
Repost0
19 mai 2013 7 19 /05 /mai /2013 10:30

 

 

 

www.ecologie-radicale.org

 

 

la lettre de Gérard CHAROLLOIS              Le dimanche 19 mai 2013

TEL 06 76 99 84 65

             

 La révolution biocentriste.

 

 

Ceux qui par idéologie et ceux qui par profession de lobbying s’opposent à la reconnaissance des droits des animaux et de la nature, dénigrent le biocentrisme en le présentant comme une régression, une négation des droits de l’homme.

Pour eux, notre condamnation de l’anthropocentrisme impliquerait un retour à un passé antérieur à la révolution morale, politique, scientifique issue des œuvres des 17ème et 18ème siècles.

 

 

Globalement, l’Antiquité mettait au centre des valeurs le cosmos, au besoin peuplé de dieux, multiples assurant la pérennité de l’être, par la permanence de la matière.

 

 

Les monothéismes substituèrent un dieu unique qui promettait non seulement l’immortalité de la matière, mais mieux la résurrection des corps, ce qui était plus fort, plus consolateur, plus anxiolytique.

 

 

DESCARTES et ses successeurs, sans nier initialement les dieux,  mirent l’homme à la place, au centre des valeurs.

Pour faire de l’humain une fin, un centre, l’unique mesure des intérêts, il fallait à ces pensées l’extraire du reste du vivant, le mettre sur un piédestal où il pourrait s’adorer lui-même, espèce à part, séparée radicalement des autres.

 

Si le cartésianisme valorisa opportunément la raison, ce n’est nullement par cet attribut que cette philosophie spécifia l’humain.

 

DESCARTES et ses disciples reconnaissaient une amorce de raison chez les animaux.

En revanche, ils soutinrent que l’animal ne pouvait pas souffrir, qu’il était dépourvu de sensibilité et que les cris émis par un chien maltraité n’était que le bruit de l’air dansune tuyauterie !

 

 

Cette affirmation qui nous apparaît aujourd’hui bien grotesque devait amener les philosophes « humanistes » des 19ème et 20èMe siècles à rechercher laborieusement, ailleurs, ce qui constitue une frontière absolue entre l’homme et le reste du vivant.

 

 

Puisque ce  n’est point la raison qui fait l’homme sauf à dénier la qualité d’humain aux enfants en bas-âge, aux vieillards séniles, aux faibles d’esprit privés de raison, puisque  et nul ne conteste que les animaux que chacun fréquente autour de lui possèdent la capacité de souffrir, il convenait de trouver autre chose..

 

 

Nul ne conteste plus que tout animal doté d’un système nerveux éprouve le principe duplaisir déplaisir.

Alors, le négationniste des droits de l’animal proclame, tout aussi stupidement que ses devanciers, que c’est le libre arbitre qui fait l’homme.

Quelle superbe illusion que ce libre arbitre !

Les connaissances neurologiques, psychiatriques, génétiques, endocrinologiques contemporaines ébranlent gravement cette noble certitude sur le caractère du libre arbitre humain.

Bien sûr, cette fiction est indispensable au bon fonctionnement d’une société et notamment à la répression des crimes et délits, car comment punir un homme pour ce qu’il a fait si l’on devait considérer qu’il est déterminé par sa biologie et son acquis ?

Néanmoins, laissons, humblement, à l’avenir et aux avancées des connaissances la mission de préciser la part de libre arbitre et de déterminisme des individus.

Quelle que soit cette part, rien ne permet d’affirmer, comme le font les philosophes antrhopocentristes contemporains, que l’animal non-humain soit dépourvu de tout libre arbitre.

 

 

Toutes les fois que l’homme a cherché un « propre de l’homme », il dût se démentir en découvrant chez d’autres espèces des formes de ce fameux « propre ».

 

 

Une espèce possède toujours des caractères et des aptitudes qui la distinguent des autres.

Un homme contemplant un quelconque autre animal perçoit ce qui le sépare de l’espèce observée, mais celle-ci possède également des caractères la séparant des autres espèces.

 

Outre des similitudes biologiques, telles un encéphale dans une boîte crânienne, une moelle épinière dans une colonne vertébrale, des bases composant des brins d’ADN, les espèces possèdent en commun ce que niaient les premiers cartésiens, à savoir, la capacité de souffrir.

 

 

Or, c’est cette capacité qui fait l’unité profonde du vivant.

N’oublions jamais que la chance, hasard et nécessité, fit apparaître sur la terre non l’humain, mais la vie.

C’est elle qui vaut.

Evidemment, l’homme participe de la vie et en cela mérite le respect de sa sensibilité, de son droit à vivre selon les impératifs de ses besoins.

Le biocentrisme ne retire rien aux droits de l’homme, bien au contraire.

En subvertissant les communautarismes meurtriers, il assure le triomphe des droits de l’homme.

 

 

Mais, le biocentrisme étend à la nature entière ce droit à ne pas être soumis à la violence, à l’exploitation, à l’anéantissement.

 

 

 

La perspective ne vise pas à abaisser l’humain mais à rehausser le règne du vivant.

Le biocentrisme n’est pas une régression mais une avancée, une élévation de la conscience, une extension du champ de la responsabilité.

 

Cette pensée révolutionnaire débouche sur des politiques concrètes, car une doctrine s’apprécie à l’aune de ses effets :

Puisque l’animal mérite respect en considération  de sa sensibilité, il convient d’abolir tout acte de cruauté et de maltraitance à son encontre..

 

Puisque les espèces  ont un droit à vivre sur la terre, un partage de l’espace incluant leurs besoins vitaux s’impose.

 

L’homme doit renoncer à tout exploiter, dominer, conquérir pour son seul profit au détriment de la nature.

Jusqu’ici, les plus généreux des humains se souciaient  de laisser des territoires aux « peuples primitifs ».

 

Il faut aller au-delà de cette compassion anthropocentrique et étendre aux espèces de faune et de flore ce droit à conserver des territoires vitaux.

 

             Gérard CHAROLLOIS

 

 

CONVENTION VIE ET NATURE

MOUVEMENT D’ECOLOGIE ETHIQUE ET RADICALE

POUR LE RESPECT DES ÊTRES VIVANTS ET DES EQUILIBRES NATURELS.

 

Partager cet article
Repost0
18 mai 2013 6 18 /05 /mai /2013 10:36

 

 

 

veggies-1.jpg

 

 

 

Ingredients :


  • 1 courgette coupée en long puis tranchée
  • 1/2 aubergine ( graines enlevées et coupées en fines tranches)
  • 1/2 ognion rouge coupé en fines rondelles  
  • huile d'olive sel et poivre 
  • 4 tranches de pain  ( multigrain ou votre préféré )
  • houmous ( recette plus bas )
  • mélange de salades printanirères ( mesclun )

 

 

Prechauffer le four à 200 °


 

Recette : 

 


  • Mélanger courgette, aubergine et ognion dans de l'huile d'olive pour les enrober.Saler et poivrer.
  • Mettre ces légumes sur du papier de cuisson et cuire 20 minutes au four en les retournant à mi-cuisson.
  • Tartiner vos tranches de pain avec l'houmous en intercalant des feuilles de salade et le mélange de légumes grillés.

 

Vous pouvez servir avec des peites tomates, de l'avocat, et des herbes fraiches.

 


Source :  http://www.care2.com/greenliving/5-delicious-vegan-sandwich-recipes.html#ixzz2TdK6BLBP

 

 

 

 

Recette Houmous 

Ingrédients

- une boite  de pois chiches cuits et égouttés (conserver un peu d'eau de cuisson)


- 2 ou 3 cuillères de tahin ( crème de sésame dans tous les magasins bio )


- jus d'un demi citron


-  huile d'olive

 

- 1 cuillère à café de sel

 

- 1 cuillère à soupe de cumin

 

- 1 ou deux gousses d'ail 

 

- huile de sésame ( je vous conseille d'en acheter une petite bouteille , c'est tellement bon ! )

 

 

Recette :

 

 

 

Mettre dans le mixeur les pois chiches égouttée avec un peu de l'eau de cuisson, mixer, puis ajouter le tahin, le jus de citron, l'ail coupé en petits morceaux, le sel et le cumin. Incorporer un peu d'huile d'olive au cours du mixage jusqu'à obtenir un mélange crèmeux.

 

 

 

Mettre dans un joli bol,  ( personnellement, je recouvre cette préparation d'un peu d'huile de sésame et de graines de sésame grillées ).

 

 

Cet houmous peut être gardé au frais , et dégustez-le aussi sur du pain grillé , avec des légumes à la vapeur etc . ...

 

 

 

Bon appétit !

 

 

    Partager cet article
    Repost0
    15 mai 2013 3 15 /05 /mai /2013 15:36

     

     

     

    Voici un compte-rendu de bac.marseille concernant la manif d'Alès , ainsi que les réactions de Gérard Charollois ( CVN ) sur le même sujet :
     

     

                                _________________

     


     

    Bonjour chers adhérents, actifs ou non-actifs,

     

     

    Comme promis, le compte-rendu de ces deux jours de manifestations à Alès.

     

     

     

    Plutôt qu'un texte long et fastidieux, les images parlent d'elles-mêmes. Vous pourrez voir la mobilisation exceptionnelle qui a permis de gagner la bataille médiatique. Toute notre reconnaissance à Jean-pierre Garrigues, il a été impérial.

     



    http://www.youtube.com/watch?


     

     

    feature=player_embedded&v=at9gWkYkTSY

     



    http://www.youtube.com/watch?v=NYzP2IfJFXk&feature=youtu.be



    Revue de presse:
     
    << Le sentiment commun de toutes les personnes qui ont manifesté à Alès ce weekend, c’est le bonheur d’avoir été là. Pourquoi ? Parce que quelque chose de fort nous a unis comme jamais auparavant et ce quelque chose, c’est l’humain et la certitude de l’emporter bientôt. Les plus anciens dans la cause qui se sentaient désabusés ont repris espoir, les plus jeunes sont encore plus déterminés, la dynamique est en marche et rien ne va plus pouvoir l’arrêter.>>
                      ______________________________________

    CVN info: ALES, les tortionnaires et la police.‏

      
    La CONVENTION VIE ET NATURE constate que le samedi 11 mai, cinq cents fonctionnaires de police étaient mobilisés à ALES (GARD) pour protéger les amateurs de torture publique d'un taureau, d'une éventuelle agression de la part des  milliers de manifestants qui, à l'appel du COMITE RADICALEMENT ANTI-CORRIDA, dénonçaient ce spectacle de mort.

      
    Le ministre de l'intérieur, prétendument de gauche mais obsédé de séduire le public de droite par un affichage sécuritaire, veut défendre la corrida, spectacle d'essence fasciste dont il est grand amateur.

      
    Pour éviter que les maires renoncent à organiser dans leurs villes de telles représentations, il convient, pour le tast mort, de prévenir tout incident.

    En effet, soucieux d'ordre et de paix publics, les maires interdiraient la torture des taureaux chez eux si ces jeux généraient de quelconques troubles.


    Donc, pour le ministre, la défense de la corrida passe par la prévention de tout désordre aux abords des arènes.

    Aussi, le ministère mobilisa force CRS à ALES, pour sauvegarder l'image de la tauromachie et à NOTRE DAME DES LANDES pour encadrer les écologistes hostiles au grand aéroport de Monsieur le premier ministre.

      
    Cinq cents policiers à ALES samedi et 800 à PARIS pour encadrer les dérangés mentaux qui s'excitent autour des jeux de ballons!
      
    Voilà qui mérite une banderille politique sur Manuel VALLS!

              CVN.



    Partager cet article
    Repost0
    12 mai 2013 7 12 /05 /mai /2013 18:55

     

     

    www.ecologie-radicale.org

     

     

     

     

    La lettre de Gérard CHAROLLOIS           le dimanche 12 mai 2013

    TEL 06 76 99 84 65

     

     

            Du mur des arriérés à celui des indifférents.

     

     

     

    Nos concitoyens subissent le bourrage de crâne de « l’horreur économique » et ignorent tout du grand défi matériel et éthique qu’est la mort de la nature, victime de homo economicus.

     

     

     

    Bien sûr, généralement, à l’exception de l’infime minorité que sont les chasseurs, nos contemporains disent aimer la faune, les espaces naturels, les paysages préservés, les sites tranquilles.

    Mais, ils veulent ignorer que tout ceci est condamné à disparaître en l’absence d’un changement radical de comportement.

     

     

    Sans cesse et partout sur la terre, des hommes fautifs veulent aménager, artificialiser, rentabiliser, urbaniser, tracer des routes, édifier des résidences, accroître les rendements agricoles.

     

     

    Tout élu local énoncera stupidement que son projet « d’aménagement »  ne porte qu’une infime atteinte au milieu, qu’il est  tellement écologique, tellement bien intégré et laisse persister une zone verte.

     

    Zone verte que l’on réduira encore dans dix ans par un nouveau petit projet, avant de l’éliminer complètement juste un peu plus tard.

     

     

     

    Et puis, la faune, ça sert à quoi ?

     

    Le processus d’anéantissement perdure dans le silence complice des pouvoirs et des médias.

     

    En France, lorsque la faune est évoquée au parlement, c’est toujours pour son malheur.

     Tuer, détruire, limiter la biodiversité pour satisfaire le mur des arriérés est l’unique obsession de l’élu de circonscription.

     

     

    Notre ami Pierre JOUVENTIN, auteur du livre « KAMALA une louve dans ma famille » fait observer que toutes les questions écrites posées par les parlementaires au ministère de l’écologie portant sur la présence du loup reflètent les préoccupations exterminatrices des arriérés.

     

     

     

    La ringardise de la classe politique tient sans doute à son mode d’élection,, le scrutin uninominal à deux tours favorisant la mainmise de  groupes de pression très locaux, agissant contre la volonté démocratique du pays et contre l’intérêt général.

     

     

     

    Le ministère ne peut dès lors que céder à ces pressions d’élus demandant la mort des 240 loups que compte la France qui pourrait en accueillir plusieurs milliers.

     

     

     

    Arriérés, oui, ces individus qui refusent à des espèces le droit  de vivre, parfois pour des raisons de lucre, mais le plus souvent par a priori culturels.

     

     

     

    Or, La biodiversité implique le respect des équilibres entre proies et prédateurs.

    La Grande Bretagne, par ailleurs paradis relatif des animaux, victime de son insularité, nous en offre l’illustration.

    Elle connaît une surpopulation de cervidés compromettant la régénérescence forestière.

    Les « gestionnaires » des espaces boisés Anglais envisagent de recourir à des tirs de ces herbivores surabondants, procédé extrême, dégradant pour l’homme qui s’avilit toujours en se muant en tueur.

     

     

     

     

    La solution serait la réintroduction des lynx et des loups dans ces forêts pour obtenir une régulation biologique, évitant à l’humain de faire l’apprentissage de l’acte abject de tuer.

     

    La protection de la nature passe par celle des prédateurs et notamment des renards, rapaces et mustélidés, ceux-ci ne « buvant pas le sang de leurs proies avec leurs dents creuses, comme le racontent encore les chasseurs !

     

    La belette, consommatrice de micro-mammifères, pesant cent Grammes et la fouine, la martre, le putois mangent la viande de leurs victimes et ne sucent pas leur sang.

    Il est frappant de constater combien ceux qui la combattent par le fusil, le piège et le poison méconnaissent la nature.

     

     

     

     

    L’ignorance caractérise ceux que les politiciens sans  honneur gratifient du terme de « gestionnaires de la faune ».

     

     

     

    Culturellement, la société contemporaine évolue dans deux directions apparemment opposées :

     

    ----- 1° Nos contemporains tuent de moins en moins, prélèvent de moins en moins de nature, et récusent la chasse, loisir perçu comme une violence primaire et débile ;

    ----- 2°  Nos contemporains vivent dans un monde sans cesse plus artificialisé, aseptisé, éloigné de la nature dont ils se désintéressent.

     

    Les arriérés ont une vision fausse de la faune, de la flore et des milieux naturels, percevant la biodiversité comme une nuisance à esterminer.

     

    Les « modernes », urbains hors-sol, uniquement préoccupés de « culture anthropocentrique », n’ont aucune vision de la nature et s’enferment dans un univers de béton, d’acier et de verre, ne connaissant de la planète que les œuvres humaines sans mesurer qu’il y a bien d’autres formes de vies qu’il convient de sauver.

     

    Pour ces urbains « dénaturés », les milieux naturels sont perçus comme dangereux et dépourvus d’intérêts.

     

     

     

    L’arriéré est nuisible à la planète.

    Le  « moderne » lui est étranger.

    Parce que nous, humains, sommes omniprésents et puissants par nos techniques, nous ne pouvons pas nous désintéresser de la nature.

    Nous devons tisser avec elle un lien d’alliance, de connaissance et j’ajouterai, d’amour.

    Des espaces doivent être laissés aux requins de la REUNION, aux tigres, aux éléphants et ici aux grands prédateurs.

     

     

     

    Sans l’émergence de cette culture nouvelle, l’humanité sera une impasse évolutive et la cause d’une catastrophe, d’un vaste biocide dont la planète saura bien se défaire.

    Aussi, avant les billevesées économiques et spéculatives, avant les faux débats ressassés dans les médias, avant le nombrilisme spéciste, l’impératif est de sauver la nature.

     

     

     

               Gérard CHAROLLOIS

     

     

    CONVENTION VIE ET NATURE

    MOUVEMENT D’ECOLOGIE ETHIQUE ET RADICALE

    POUR LE RESPECT DES ÊTRES VIVANTS ET DES EQUILIBRES NATURELS.

     

     

     

    Partager cet article
    Repost0
    12 mai 2013 7 12 /05 /mai /2013 13:53

     

     

    Voici quelques photos de mon jardin prises entre deux averses ... 


    Vous retrouverez Yvonne la cane ( avec 2 " prétendants " cette année ! ) , plein de fleurs : muguet, lilas, grand perce neige, petite pensée, primevères,  bleuets, monnaie du pape, cognassier du japon, jacinthes des bois, fleurs de pommier ( pommes pommes ! ), mélangées à des brassées de fleurs sauvages ...

    Bonne visite !

    P4190029.JPG
    P4190030.JPG
    P4260002.JPG
    P5120014.JPG
    P5120015.JPG
    P5120021.JPG
    P5120023.JPG
    P5120025.JPG
    P5120028.JPG
    P5120027.JPG

    Partager cet article
    Repost0
    10 mai 2013 5 10 /05 /mai /2013 14:53
    ales-banner.jpg
    QUELQUES INFOS SUR LA MANIF DU 11 MAI À ALÈS :
      
    communiqué: tous à ALES.
      
    La CONVENTION VIE ET NATURE vous appelle à manifester contre la torture tauromachique, le samedi 11 mai, à  partir de 14 heures, à ALES.
      
    Vous trouverez ci-dessous les dernières informations émanant de nos mais du CRAC EUROPE, relatives à cette essentielle manifestation.
      
    Ne vous y trompez pas:
    L'opinion publique, la presse, les décideurs, compteront demain le nombre des manifestants.
      
    Si le rassemblement est réussi, un coup important sera porté au spectacle de mort.
    En revanche, si nous échouions, la torture gagnerait encore des années de sursis avant de rejoindre la poubelle de l'Histoire.

      
    Or, ce succès ne dépend que de vous.

      
    Votez contre la corrida en venant à ALES.

      
    Le ministère de l'intérieur dont le ministre est pro-corrida surveille cette manifestation qui est celle qui comptera cette année sur ce sujet.
    Nous comptons sur votre mobilisation.

            Gérard CHAROLLOIS
    Contact TEL 06 76 99 84 65

    --------- message transféré
    CRAC Europe - Comité Radicalement AntiCorrida - Lettre d'info
    CRAC Europe - Comité Radicalement AntiCorrida
      
    La lettre du CRAC Europe // mai 2013
      
    Bonjour,
    Alès 2013, 11 et 12 mai, tous ensemble pour l'abolition de la corrida

     
    INFO à J moins 2

     
    A tous les militants abolitionnistes de bonne volonté !

     
    Chers amis de combat,

     
    La bataille d’Alès est rude et nous allons la gagner car nous le devons. Pour tous ces taureaux torturés, pour tous ces chevaux éventrés, sacrifiés, martyrisés
    pour le plaisir pervers et sadique de quelques dégénérés. Pervers soutenus à bout de bras par des élus, des représentants de l’État et des magistrats qui
    n’ont toujours pas compris que la société avait évolué, qu’il était temps de changer la loi, qu’il était temps d’avoir enfin un peu de courage politique
    ou judiciaire. Le « grotesque » maire d’Alès, comme le qualifie très justement l’écrivain Anna Galore, refuse de prendre des décisions sous la contrainte.

    Et comment notre société a-t-elle évolué, si ce n’est sous la contrainte ? Abolition de l’esclavage, front populaire, avancées sociales du Conseil National
    de la Résistance (Stéphane Hessel avait signé le manifeste du CRAC Europe pour l’abolition de la corrida) afin que chacun puisse vivre dignement. Le maire
    d’Alès se moque de nous.

    Le préfet du Gard
    nous traite comme des enfants et nous menace
    par un ajout manuscrit !
    C’est un bras de fer qui est engagé et nous devons faire comprendre à ces personnages qu’il est temps de respecter la majorité. Il est temps d’arrêter
    de protéger les tortionnaires. Cette situation est totalement intolérable. Nous ne laisserons plus rien passer. Les jugements iniques des tribunaux et
    autres juridictions (conseil constitutionnel entre autres) font venir à nous des spécialistes du droit qui sont scandalisés.

     
    Aujourd’hui nous aurions pu avoir une belle surprise. Notre éminent juriste représentant le CRAC fut brillant. L’avocate débutante de la mairie fut affligeante.
    Mais malheureusement, nous sommes à Nîmes et le tribunal administratif a rejeté notre demande d’annulation des arrêtés municipaux qui éloignent nos manifestations
    de la zone de féria et des abords immédiats des arènes. C’est le règne de l’arbitraire, de l’abus de pouvoir, du clientélisme auprès d’un tout petit nombre
    d’amateurs de torture. Cela ne doit que nous motiver d’avantage pour venir TRES nombreux à Alès.

     
    SURTOUT, n’écoutez pas les rumeurs ! Rien n’est annulé, tout est maintenu ! Et notre premier rendez-vous aura bien lieu au parc du Bosquet. Puisque les
    autorités nous imposent tout, à elles de mettre en œuvre un dispositif pour nous permettre de démarrer notre première manifestation dans de bonnes conditions.

     
    N’écoutez pas non plus les bêtises au sujet des aficionados et ne les rediffusez pas ! Le sous-préfet d’Alès m’a précisé le 7 mai qu’il n’y avait aucune
    manifestation pro-corrida. Rien n’a été déclaré, par conséquent toute réunion de pervers et de sadiques en puissance sera automatiquement dispersée. Le
    petit monde de la torture est aussi celui du mensonge permanent. Gardons le cap !

     
    Nous vous attendons à Alès à 14h00 au parc du Bosquet à côté de la mairie. Vous recevrez sur place toutes les consignes nécessaires et informations pour
    l’ensemble du week-end. Merci à vous ! Et nous vous ferons un certain nombre de propositions qui devraient contenter toutes les sensibilités !
     
    A samedi pour l’intensification de la lutte !
     
    Bien à vous

     
    Jean-Pierre Garrigues
    Président du CRAC
    Vice-président du CRAC Europe

     
    ______________________________________________________________________________________________________________________
    PLEIN D'INFOS  A LIRE  SUR LE SITE : http://www.anticorrida.com/    :

    Les Verts soutiennent les manifestations d’Alès ! -
    (publié le 8 mai)
    C’est par la voix du secrétaire national d’Europe Écologie - Les Verts, Pascal Durand, que le parti politique apporte un soutien clair et sans équivoque
    aux manifestations d’Alès et à notre combat (...)
     
     

    « Et si on emmerdait un peu...M. le maire UMP d’Alès ? » -
    (publié le 8 mai)
    A lire de toute urgence, les puces de Luce Lapin du 30 avril dernier. A retrouver dans la revue de presse des manifestations historiques à Alès de ce week
    end (...)
     
    http://www.charliehebdo.fr/news/rubrique-corrida-15

     

     

     

     

     
    A LIRE : L'EXCELLENT BLO D'ANNA GALORE : http://annagaloreleblog.blogs-de-voyage.fr/

    Pour en finir avec la corrida -
    (publié le 6 mai)
    par Anna Galore La protection animale inclut bien des luttes sur différents fronts. Il y a ces dizaines de milliers de bénévoles anonymes qui se démènent
    au quotidien pour extraire un nombre (...)
     
     

    Pour revoir le CRAC Europe chez Hondelatte -
    (publié le 6 mai)
    Dimanche 5 mai, Jean Pierre Garrigues, vice-président du CRAC Europe, est opposé à Philippe Soudée et d’autres partisans pro-corrida, dans l’émission Hondelatte
    (...)
     
     

    L’abolition en marche sur Alès : J moins 7 ! -
    (publié le 5 mai)
    TOUS A ALES ! Chers amis de combat, notre actualité est toujours aussi chargée. Vous trouverez ci-dessous un échantillon de nos actions les plus récentes.
    L’action phare de cette année se profile au (...)
     
     
    La manif d’Alès annoncée dans La Montagne
    La manif d’Alès annoncée dans La Montagne -
    (publié le 4 mai)
    Dans son édition du samedi 4 mai 2013, un court article pour annoncer la manifestation.
     
     

    Reprise des cyberactions d’Alès -
    (publié le 4 mai)
    Merci d’envoyer de nombreux messages (courriers électroniques, téléphone, fax) afin de faire comprendre au prestataire de sévices, Philippe Cuillé, qu’il
    n’est pas le bienvenu (voir notre lettre ouverte) (...)
     
     
    Nasser Lajili, conseiller municipal anticorrida
    Nasser Lajili, conseiller municipal anticorrida -
    (publié le 3 mai)
    Jeune conseiller municipal de Genevilliers dans les Hauts de Seine, aux couleurs du PGFC (Pour une Gauche Fière de ses Couleurs), Nasser a été abordé par
    l’un des membres du CRAC Europe, et force est (...)

    VOIR SON BLOG : http://lajili-nasser.blogspot.fr/2013/03/ma-lettre-aux-gennevillois-de-mars-2013.html
     
     
     

    Abolition de la corrida dans un Etat mexicain -
    (publié le 3 mai)
    L’Etat de Sonora, au Mexique, vient d’interdire la corrida dans tout le territoire. Sonora est un état d’environ 3 millions d’habitants situé à l’ouest
    du pays. « On interdit la corrida à Sonora » A (...)
     
     


     

    le CRAC Europe sur Radio JM -
    (publié le 30 avril)
    La journaliste de Radio JM, Claudia Amodeo, a donné la parole pendant toute une heure aux spécialistes de la corrida qu’elle avait invités. Les principales
    idées reçues sur la tauromachie, véhiculées (...)
     
     

    Les espagnols ne veulent pas continuer à subventionner la torture des taureaux -
    (publié le 25 avril)
    Une enquête réalisée parallèlement à la présentation au Congrès de la ILP en faveur de la tauromachie révèle le refus des espagnols de la subventionner
    avec des fonds publics. Le parti animaliste PACMA a (...)
     
    Lire TOUS CES ARTICLES  sur : http://www.anticorrida.com/
    Partager cet article
    Repost0