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  • : Le blog de le journal de campagne de KIKI DU 78
  • : Cet espace est réservé à des informations souvent ignorées par les " grands " médias, et à divers sujets d'actualité , en vue d'échanges de points de vues.
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27 novembre 2012 2 27 /11 /novembre /2012 11:37

La chasse-loisir, une tradition de merde !


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Une grande majorité de nos contemporains haïssent la chasse et en subissent même les conséquences puisqu'ils se voient interdits de Nature en cette période où un ramassis d'abjectes arriérés investissent tous les paysages. Tout le monde est contre mais le lobby est si influent qu'avec l'appui d'un ramassis d’hommes politiques véreux et sans dignité, ceux qui n'ont rien d'autre à faire que de tuer pour le plaisir s'imposent contre toute légitimité.

La chasse était le fait de l'homme naturel et continue à être justifiable pour les derniers survivants des peuples natifs, ces cueilleurs-chasseurs qui eux aussi sont persécutés par le lâche tireur d'élite et le terminator psychopathe et insatiable qu'est le sous-homme civilisé.


Les chasseurs, ces enculés, vont diront qu'ils régulent la Nature. On ferait bien de les réguler à leur tour.

Voici quelques images qui parlent d'elles-mêmes en matière de "régulation" du Vivant :
 

 
"Battues sangliers > 08 dec 2012 > 12 janv 2012 > 26 janv 2013 / Des places disponibles pour ces battues ouvertes avec piqueux et plus de 60 chiens courants / Possibilité de tirer Cerfs Biches et Fans  / 1 sanglier pour 2 chasseurs 260 € ..."
 
Écrivez donc à ces salauds et dites-leur tout le mal que vous pensez d'eux et de leur clique.. : http://www.domainederaboulet.com/

 
 
Vous êtes un héros aux grosses couilles friquées, pour 35.000$ vous pouvez abattre un éléphant... Moins cher, pour 3.800$ tuez une girafe à bout portant : http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=tjMtYVeDm10

En Afrique du Sud, tirez sur tout ce qui bouge (curieux, ce film ne présente que des Blancs !)  http://www.dailymotion.com/video/x7c53m_afrique-sud-safari-chasse_animals

 
Deux livres courageux et riches en révélations vous expliquent le pourquoi de cette ignominie:
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25 novembre 2012 7 25 /11 /novembre /2012 10:51

www.ecologie-radicale.org

 

 

La lettre de Gérard CHAROLLOIS          le dimanche 25 novembre 2012

 

TEL 06 76 99 84 65

 

             

 

  Honte aux gens de la politique.

 

 

.

 

Que le parti conservateur Français, serviteur du Marché, de la finance, des exploiteurs s’abîme en grotesques querelles de personnes ne saurait nous affliger.

C’est du niveau des jeux de ballons et autres pitreries avec lesquelles les médias captivent les foules.

D’ailleurs, les sénescents électeurs de ce  parti n’ont rien à craindre  d’une alternance  qui n’est qu’un leurre.

C’est la même politique aujourd’hui qu’hier.

 

 

 

Lorsqu’elle n’est pas tragique, qu’elle ne tutoie pas l’Histoire, qu’elle n’expose pas aux grands sacrifices, la politique n’est jamais qu’une banale scène où s’agitent des névrosés narcissiques.

Ils s’entre’déchirent pour occuper de leurs vaines présences les palais nationaux, flattant tous les mêmes lobbies, servant les mêmes intérêts qui les rétribuent en retour, avec, en guise d’alternance, des variations de styles et de personnels.

 

 

 

Le président de la république, dit de gauche, s’incline respectueusement, dans une lettre du 8 octobre 2012, devant le président des chasseurs Français, par ailleurs conseiller général UMP d’un canton de NICE, l’assurant qu’il le recevra personnellement et lui rappelant que les chasseurs participent à la « protection des territoires ».

 

 

 

Le premier ministre, dit de gauche, s’acharne à offrir à la société VINCI un aéroport démesuré à NOTRE DAME DES LANDES, ouvrage dispendieux, contre nature, inutile, polluant.

Dans le même temps, les hôpitaux, les tribunaux, les écoles sont en cette fin d’année en cessation de paiement et les effectifs de la fonction publique, des organismes sociaux sont insuffisants pour faire face aux missions de service public.

Les médias bruissent des injonctions des « docteurs de l’économie », imposteurs arrogants, sur la nécessité du « toujours moins pour le bien public » et du « toujours plus pour la finance ».

S’il y avait un ministre écologiste au gouvernement, il  démissionnerait pour protester contre une telle politique. Mais, il n’y en a pas et nul courage, nulle lucidité, nulle conviction ne sanctionneront le « kyste » du Grand Ouest.

 

 

 

Aussi longtemps que cette classe politique, qui se partage le pouvoir dans une pure comédie d’alternance, sévira, la cause de l’homme, de l’animal et de la nature sera sacrifiée à la loi du Marché et aux obscurantismes.

L’UMP et le parti dit socialiste, (qui ne l’est plus), vénèrent les mêmes dogmes économiques et peinent à se distinguer pour feindre  une démocratie qui disparaît lorsque s’estompe les choix de fond.

 

 

 

Nous n’avons que faire d’une alternance qui ne change rien.

Il faut une alternative, une sortie de secours, une rupture avec les causes de la catastrophe planétaire.

Il n’y aura pas de sortie de « crise », car le mal dont souffre la société  n’a rien de cyclique.

 Ce mal réside dans le système productiviste et mercantile et en 1977, Raymond BARRE (le meilleur économiste de France !) annonçait déjà, pour les deux ou trois années suivantes « la sortie du tunnel ».

 

 

 

Les  sujets captifs du Marché, ces citoyens oublieux de l’être, victimes du conditionnement, récitent :

 « Avec vous, les écolos, on ne pourrait plus rien faire. Vous êtes contre les autoroutes, les grands aéroports, les gaz de schistes, l’urbanisation, la croissance, le développement ».

Ces intoxiqués par les lobbies ne perçoivent plus les périls qu’engendre, non pas dans un avenir hypothétique, mais aujourd’hui, la société de dévastation.

 

 

 

La cancérisation de la terre par les grandes infrastructures, le béton et l’asphalte n’a résolu aucun des problèmes économiques et sociaux  que prétendent combattre les tenants de la course à l’abîme.

L’argent public de l’Europe finança massivement, ces décennies passées, les autoroutes, ponts et grands travaux en Espagne, Grèce, Hongrie au détriment de la nature avec les édifiants résultats sociaux que nous observons !

 

 

 

Quand ils auront tout détruit que feront-ils pour croître et multiplier ?

Peut-être comprendront-ils enfin, mais trop tard, que les forêts, les rivières sauvages, la mer originelle valaient mieux que leurs infrastructures et leur développement.

 

 

 

Pendant que la nature agonise, queles animaux sont maltraités, que des humains se paupérisent, que loin de s’orienter vers une issue de secours, les dirigeants perdurent dans leurs erreurs et leurs dogmes, des foules manipuylées se mobilisent, à l’appel des obscurantistes des religions, contre le mariage « pour tous » !

 

 

 

Non, décidément, nous ne vivons pas dans une époque moderne !

 

 

 

Les Résistants de NOTRE DAME DES LANDES, les militants de la cause animale, les réfractaires aux dogmes de l’économie charlatanesque annoncent-ils un réveil, un sursaut ?

 Est-ce une aube ou déjà un crépuscule ?

            

 

 

   Gérard  CHAROLLOIS

 

 

CONVENTION VIE ET NATURE

MOUVEMENT D’ECOLOGIE ETHIQUE ET RADICALE

POUR LE RESPECT DES ÊTRES VIVANTS ET DES EQUILIBRES NATURELS.

 

______________________________________________________________________________________________

 

Et n'oubliez pas d'aller faire une petite visite sur le site de la CVN ! vous y apprendrez beaucoup !

 

 

 

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24 novembre 2012 6 24 /11 /novembre /2012 17:54

 

 

 

Mobilisons-nous pour 35 ânes de l'ADADA‏

Aujourd'hui c'est un appel que nous lançons à chacun d'entre vous.

Vous connaissez bien l'ADADA que nous soutenons depuis 2 ans : cette association, déclarée d'utilité publique, a montré son rôle irremplaçable dans la lutte contre les maltraitances dont les ânes sont victimes.

 

 

Lire la suite sur :

Dès maintenant, mobilisons-nous !
Comment ?

 

Visionnez 3 vidéos publicitaires.

Chaque jour venez visionner 3 vidéos publicitaires pour permettre de faire monter le compteur qui sera mis à jour quotidiennement 1 fois par jour.

Pour vous, c'est simple, rapide et GRATUIT. Il vous suffit de visionner les vidéos.


 

 

Chaque jour, faites des vidéos-dons.

Le principe est très simple : il suffit de regarder les vidéos dons entièrement (elles ne durent pas plus de 20 secondes) et de cliquer à la fin de cette vidéo pour valider votre don.

C'est simple, rapide et surtout GRATUIT pour vous. Une fois de plus, vous n'avez rien à payer.


 

 

Signez nos pétitions

Car il est important que chacun se mobilise en faveur de l'ensemble des causes de la protection animale, nous vous invitons à signer nos pétitions.

 

Lire la suite sur :

http://www.petitions-solidaires.com/

 

et ne pas oublier de cliquer le plus souvent possible !

 

https://www.facebook.com/events/calendar/2012/December/14

____________________________________________________________________________________________

 

 


N'oubliez pas de faire un petit tour sur les ite de Charlie Hebdo ( vous pouvez aussi acheter la version papier ) pour y découvrir les Puces de Luce Lapin : voici celle de cette semaine :

http://www.charliehebdo.fr/abattage.html#652

 

 

 

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A.L.F. le Film

 

MESSAGE A REDIFFUSER AU MAXIMUM SI VOUS LE SOUHAITEZ – MERCI A VOUS !

 

 

Chers amis de combat,

Un texte sublime de la grande Anna Galore (lien ci-dessous), pour un film tout autant sublime! A voir et revoir (j'en suis à la troisième fois hier à Montpellier). Ce film est tellement fort, qu'à chaque vision on découvre de nouvelles choses. Pour moi, Jérôme Lescure est le militant numéro 1 de la protection animale en France. C'est un grand honneur de le connaître. Il faut que ce film soit un succès! Il faut absolument aller voir ce film et le revoir. Il faut que nous contribuions toutes et tous, à augmenter le nombre des spectateurs,  d'un nouveau public hors protection animale. C'est en ce moment, et de loin, la chose la plus importante à faire dans la protection animale! Merci de rediffuser le lien du blog de Anna Galore à toutes vos connaissances, y compris professionnelles.

 

 

http://annagaloreleblog.blogs-de-voyage.fr/archive/2012/11/22/vingt-cinq-par-seconde.html

 

 

Et toutes les salles sur : http://www.alf-lefilm.com/

 

 

Le combat continue, plus que jamais !

Bien à vous

Pour le CRAC Europe

Jean-Pierre Garrigues

Tél. 06 75 90 11 93

 

______________________________________________________________________________________________

 

Conférence de Mélanie Joy...

Vendredi 14 décembre 2012 20:00-22:00

 

 



  • Cité Internationale Universitaire de Paris - Collège d'Espagne 7 E Boulevard Jourdan 75014 Paris
  •  
  • Pourquoi nous aimons les chiens, mangeons des cochons et portons de la vache : une introduction au carnisme - Melanie Joy, psychosociologue (en anglais avec traduction en français).
  •  
  • Melanie Joy nous explique le carnisme, cette idéologie invisible qui façonne notre perception de la viande que nous mangeons, de sorte que nous aimons certains animaux, et en mangeons d’autres sans savoir pourquoi.
  •  
  • Participation aux frais de 5€, réservation fortement recommandée :https://ticketlib.com/melaniejoy
  •  
  • Madame Joy, qui milite depuis des années en faveur de la justice sociale et environnementale, et de la protection des animaux, décrit comment le carnisme s’appuie sur des mécanismes sociaux et psychologiques complexes. Moins on le connaît, plus le carnisme est dévastateur.
  •  
  • Grâce à des images puissantes, des analyses très provocantes et des histoires captivantes, Melanie Joy nous explique que, malgré le caractère unique des idéologies injustes (racisme, sexisme, discrimination fondée sur la capacité physique), la mentalité qui permet de tels systèmes est incroyablement semblable. Si l’on ne les remarque pas, ces idéologies risquent de nous porter à agir à l’encontre de nos valeurs fondamentales, de nos intérêts, et des intérêts d’autrui.
  •  
  • En faisant la lumière sur le carnisme, Melanie Joy fait de nous des citoyens plus conscients et des témoins plus actifs socialement. Le public, quels que soient ses choix alimentaires, apprécie sa proximité et sa pondération.
  •  
  • L’entrée à cette conférence est libre dans la limite des places disponibles, participation aux frais de 5€. 
  • Réservation recommandée : https://ticketlib.com/melaniejoy
  •  
  • En savoir plus
  • Melanie Joy, docteur en psychologie et diplômée en pédagogie à Harvard, est professeur de psychologie et de sociologie à l’Université du Massachusetts, à Boston. Melanie Joy a écrit différents articles traitant de psychologie, de protection animale et de justice sociale, ainsi que les excellents livres Why We Love Dogs, Eat Pigs, and Wear Cows: An Introduction to Carnism et Strategic Action for Animals. Melanie Joy est également la fondatrice et la présidente du réseau d’action CAAN (Carnism Awareness and Action Network).
  • http://www.carnism.com/
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22 novembre 2012 4 22 /11 /novembre /2012 10:39

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Je  vous avais déjà alertés sur l'ignoble marché de la fourrure ( et du cuir, car ce dernier est aussi de la peau que l'on enlève à ces pauvres victimes que sont les animaux ...  j'ai d'ailleurs remarqué que le cuir revient en force ! La majorité des présentatrices de télé et des " pipoles " portent très souvent du cuir !!! )...
Petit rappel de l'article :

http://le-journal-de-campagne-de-kikidu78.over-blog.com/article-la-fourrure-basta-action-110115822-comments.html


Aujourd'hui je vous demande de participer à différentes actions : Marche contre la fourrure, pétitions, et courriers à envoyer.

CHAQUE ANNÉE PLUS DE DEUX MILLIONS DE CHATS ET DE CHIENS SONT TUÉS  POUR LEUR FOURRURE EN CHINE ( LA PLUPART DÉPECÉS  VIVANTS !). 

____________________________________________________________________________________________

24 NOVEMBRE GRANDE MARCHE CONTRE LA FOURRURE
 

 
http://www.marchecontrelafourrure.fr/content/mclf-2012 tous les liens FACEBOOK aussi et les co voiturages :
SOYONS NOMBREUX
 
 
Le 24 novembre, retrouvons-nous à Marseille et à Paris pour continuer à faire entendre la voix des animaux.


 
Marseille: Le rendez-vous est fixé cours d'Estienne d'Orves à 14h. Fin de la manifestation à 17h.

 
Paris: Le rendez-vous est fixé à 13h, place Raoul Dautry, 75015 Paris. Fin de la manifestation Place Saint Michel.


Pétition à signer et à transférer :

http://www.mesopinions.com/petition/animaux/fin-fourrure/7631

Action :
Encore aujourd'hui quelques enseignes nauséabondes se permettent de vendre de la vraie fourrure dont le site http://www.misscoquines.com/
 
 

 
Merci de les contacter en leur indiquant votre désapprobation et en leur mentionnant qu'il existe d'autres marques ne vendant plus cette merde !

 La fourrure c'est juste cela :
 http://www.youtube.com/watch?v=n93v-2roegY&oref=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fresults%3Fsearch_query%3Dfourrure%2Btorture%26oq%3Dfourrure%2Btorture%26gs_l%3Dyoutube.3..35i39.95.798.0.977.5.5.0.0.0.0.169.580.1j4.5.0...0.0...1ac.1.bQNM4Ze3esw&has_verified=1
 

 Merci donc d'écrire à ce site - Leur email :
Celine@misscoquines.com



La fourrure c'est ça :


L'article paru  dans VSD. de :
Commentaire paru à la suite de cet article ( je ne connais pas l'auteur hélas ! ) :

'Un nombre croissant de personnes de par le
  monde prennent conscience de l'ignominie de la fourrure, comme la ville de
  Los angeles qui vient de voter à l'unanimité contre la fourrure, Israël, s'
  apprêtant à faire de même, Oslo en Norgège, qui vient de bannir la fourrure
  de ses Fashion weeks (après la Corée l'année dernière). Car qu'il s'agisse
  d'élevage ou de piégeage, la cruauté endurée par les animaux est
  inacceptable.
 
  Le piégeage : tout un arsenal de torture est à disposition des
  trappeurs, le plus utilisé est le piège à mâchoires qui se referme sur la
  patte de l'animal. Les os se brisent, les tissus se déchirent, leurs dents
  éclatent sur le métal lorsqu'ils essaient de s'en libérer. sur ceux qui
  réussiront à s'échapper, la quasi totalité mourra d'hémorragie ou
  d'infection suie à la blessure infligée. Les autres mourront de faim, de
  froid , de panique d'épuisement. D'autres animaux sont piégés
  accidentellement, qu'on estime à à environ 20 millions, animaux "déchets",
  terme employés par les trappeurs. Bien heureusement, comme vous le précisez  , les temps sont durs pour ce commerce, à l'heure ou le monde entier sait
  les souffrances extrêmes résultant de la fourrure, et refuse, par respect
  d'éthique, de la cautionner plus longuement.

A l'aube du troisième  millénaire, il est plus que temps de "sortir de la caverne", et de laisser
  leur peau aux animaux, ne possédant que cela en ce monde.
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18 novembre 2012 7 18 /11 /novembre /2012 15:05

 

www.ecologie-radicale.org

 

 

La lettre de Gérard CHAROLLOIS          le dimanche 18 novembre 2012

TEL 06 76 99 84 65

 

 

 

           Face à une société coupable.

Pendant que les associations de protection des animaux et de la nature, les mouvements politiques écologistes se querellent ou au mieux s’ignorent, la corrida, la chasse à courre, les élevages concentrationnaires, les abattages cruels imposés par les superstitions, les pesticides, les NOTRE DAME DES LANDES et lignes à très grande vitesse, et autres infrastructures dévastatrices pour la nature perdurent à tisser leur œuvre de mort.

 

 

 

Il y a les plus purs qui épurent, les timorés qui pactisent, les opportunistes qui se placent dans les palais nationaux et la vaste nébuleuse VERTE, riche de tant de diversité, se disperse et s’épuise en vains combats fratricides.

 

 

Que nous ne soyons pas monolithiques, tous pourvus des mêmes connaissances, de la même sensibilité, tous parvenus au même degré d’appréhension de l’unité profonde du vivant ne devraient pas nous distraire du vrai combat : celui du biocentrisme.

 

 

 

Ici et maintenant, les animaux sont torturés au nom du profit et des traditions. La nature est expulsée au nom du développement, de la croissance et des petites affaires entre copains coquins. Les lobbies, ces chancres qui putréfient la démocratie, les firmes multinationales, des élus ringards, des citoyens anesthésiés et devenus sujets du Marché tuent, polluent, déménagent le vivant dans l’indifférence coupable de trop de gens qui ne s’alarment que lorsque leur « environnement » personnel est affecté.

 

 

 

 

Arrêter ces massacres, cesser de mépriser les êtres vivants et la biodiversité sont des défis formidables méritant l’unité de tous ceux qui sont éveillés et qui mesurent l’ampleur des crimes de l’homme, animal cupide, animal cruel.

 

 

En Europe, les idées des philosophes des xviii.me et xix.me siècles ont triomphé bien davantage que ne le conçoivent nos contemporains. Ils ont réussi une mutation sociétale. Autrefois, les dieux étaient au centre de tout, expliquant les orages, les mauvaises récoltes, les maladies des bêtes et des gens. Les dieux arrêtaient la course du soleil,  investissaient les rois de droit divin, regardaient vivre les hommes dans toutes leurs actions et même leurs pensées.

COPERNIC, GALILEE, NEWTON apprirent aux hommes à ne plus chercher la vérité dans les mythes, mais en lisant le grand livre du monde.

 

 

Avec eux, la connaissance échappa au religieux qui se trouva  confiné à la sphère intime pour la fraction de  populations nécessitant ce soutien.

Ce qui accéda, avec cette rupture historique, au centre des valeurs, des préoccupations : ce fut l’homme.

Les études, les observations, les intérêts sont devenus humanisme et l’humanité  devint la  nouvelle divinité.

 

 

 

 

CONDORCET, Auguste COMTE, FEUERBACH, d’HOLBACH et tous les autres ont fécondé par leurs pensées cette société contemporaine qui est la nôtre.

Ces trois derniers siècles enfantèrent l’anthropocentrisme.

 

 

 

Nous voulons franchir une nouvelle étape et mettre le vivant, humain et non-humain, au centre des valeurs.

 

Non pas abaisser l’homme mais élever l’ensemble des êtres vivants au rang d’altérité.

Voilà la grande querelle des temps qui viennent.

Voilà la voie qui invite à une nouvelle mutation.

Après le temps de la théocratie et après celui de l’humanisme, construisons la société biocentriste.

Evidemment, comme toutes les idées neuves, cette extension du champ des valeurs et de l’altérité heurte des préjugés, dérange des intérêts puissants.

Il est acquis, pour trop de nos contemporains, que tout animal non-humain n’existe que pour fournir sa viande ou pire pour permettre aux monstres sadiques de torturer, mutiler, assassiner en toute bonne conscience.

Il est tellement lucratif de détruire les forêts, les espaces naturels pour croître et spéculer à l’infini.

Alors, ceux qui osent énoncer qu’un animal n’est pas une chose mais un être vivant doté d’une sensibilité, ceux qui entendent défendre la nature non pour son utilité mais parce qu’elle est, sont des empêcheurs de jouir du sadisme ordinaire et de spéculer sur les grands aménagements, mines de sordides intérêts très privés.

 

 

 

 

Pour les lobbies et pour leurs relais conformistes, ces femmes et hommes de mieux et de rupture deviennent des « écofascistes » intégristes, fondamentalistes, et terroristes !

 

 

L’invective tient lieu de raisonnement pour les ennemis de la terre qui ne peuvent pas justifier, par une argumentation sereine, leur rage de détruire.

Il y a des évidences éthiques qu’une époque refuse de voir.

Demain, les hommes auront honte des crimes qu’ils perpétuent aujourd’hui.

J’appelle, face à ces crimes, à l’unité, à la mobilisation de tous les amis du vivant, riches de leur salutaire diversité.

 

 

 

 

          Gérard  CHAROLLOIS

 

 

CONVENTION VIE ET NATURE

MOUVEMENT D’ECOLOGIE ETHIQUE ET RADICALE

POUR LE RESPECT DES ÊTRES VIVANTS et DES EQUILIBRES NATURELS. 

 

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 Allez donc faire une visite sur le site de la CVN pour lire la :

 

Lettre adressée au Président de la République par Gérard Charollois président de la CVN.

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17 novembre 2012 6 17 /11 /novembre /2012 17:33
  
Michel ONFRAY, en dévelopant l'idée d'un hédonisme altruiste, rejoignait mes réflexions et l'éthique qui me permit d'accéder au biocentrisme.
Il expose ci-dessous, des pensées qui pourraient être miennes et  que je porte au sein de la CVN.
Qu'il en soit remercié.
         Gérard  CHAROLLOIS

  
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L’Animal, cette partie mémorielle de nous-mêmes

  
Michel Onfray 14 novembre 2012 ActualitésMichel Onfray
Né à Argentan, en France, en 1959.
Docteur en philosophie, Michel Onfray a enseigné dans les classes terminales d’un lycée technique de Caen de 1983 à 2002 avant de créer une Université populaire à Caen en octobre 2002, puis une Université populaire du goût à Argentan en 2006. Il a publié une cinquantaine d’ouvrages, dont La raison gourmande, Ars  Moriendi et La sculpture de soi, dans lesquels il propose entre autres une théorie de l’hédonisme.


Dernier ouvrage paru: L’ordre libertaire. La vie philosophique d’Albert Camus, Flammarion, 2012
J’ai eu l’enfance d’un petit garçon de campagne : un animal de compagnie, un petit chien bâtard nommé Frisette, plus tard un chat qui était l’animal de ma mère, un genre d’objet transitionnel dont j’enviais les caresses prodiguées par sa propriétaire et qui ailleurs faisaient défaut... Voilà pour l’animalerie domestique.
Il y avait également l’animalerie sauvage, celle des vairons et des anguilles de la rivière de mon village natal, des grenouilles pêchées dans les mares alentours, puis mangées à la crème… À quoi il faut ajouter l’animalerie alimentaire, les lapins dans leurs clapiers, les poules et les coqs dans leur basse-cour.


Parfois, mes parents allaient chez des amis fermiers, le dimanche. Dans l’étable, je côtoyais les vaches et buvais sans l’aimer le fade lait mousseux tiède au sortir du pis. Tout cela s’accompagne de bruits et d’odeurs, de parfums et de moiteurs. Bouse de vache, urine de lapin, odeur acide de la crotte de poule, crottin des chevaux . Rien de gênant : la nature…


La mise à mort des animaux faisait partie des choses de la vie : nous étions malebranchistes sans le savoir, par tradition cartésienne, autrement dit, par filiation chrétienne, sous prétexte que les animaux n’ont pas d’âme, au contraire des hommes.

Dès lors, comme le père oratorien bottait le derrière d’un chien en philosophant qu’il n’y avait là qu’assemblage de ressorts et rouages sans sentiments, les campagnards de mon enfance enfonçaient le couteau dans l’œil d’un lapin avant de le lui arracher pour le saigner ; ils coupaient le cou d’un canard qui pouvait, nonobstant la décapitation, continuer sa course affolée dans le pré ; ils sectionnaient la tête de l’anguille et tiraient avec une pince la peau préhistorique en la tenant avec un papier journal pour la dépouiller plus facilement pendant que, sans tête et sans peau, sans viscères et sans cerveau, elle continuait à onduler ; ils plongeaient la tête d’un pigeon dans un verre d’eau pour l’étouffer avant de l’ébouillanter pour le plumer ; ils jetaient contre les murs la portée de petits chats qui n’avaient pu être placés, sinon ils les enfermaient dans un sac, puis les jetaient à la rivière ; ils assommaient le cochon à la masse, le saignaient, mais, parfois, le coup n’avait pas fait son effet, alors l’animal s’échappait en hurlant dans la nature, puis se déchirait aux barbelés du champ.


Traiter son chien comme un lapin?

Pourquoi n’aurait-on jamais réservé à Frisette le sort dévolu au lapin ? Faire au chien de compagnie ce qu’on imposait à l’animal destiné au civet était impensable… Même le paysan rompu aux brutalités de la ferme n’aurait pas consenti à tuer son chien pourtant traité… comme un chien! Décharné, dépoilu, croûteux, galeux, le cou abîmé par une courte chaîne, la terre piétinée et morte à cause des sempiternelles allées et venues du désespoir, il n’aurait tout de même pas accepté le couteau sur la gorge ou la lame rentrée dans l’œil de son chien…

Car notre rapport aux animaux est réglé par une loi non écrite héritée du christianisme. Dieu a créé le monde dans l’ordre que nous savons: du ciel et de la terre jusqu’à l’homme, puis la femme, en passant par l’herbe, les arbres, les fruits, le étoiles. Le cinquième jour, Dieu crée les oiseaux, les monstresmarins, les bestiaux, les reptiles, les bêtes sauvages. Pour donner un ordre à ce monde, il fut dit aux hommes : « Dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel et sur tout être vivant qui rampe sur la terre .» Depuis, les hommes dominent…

C’est-à-dire qu’ils élèvent les animaux pour les manger, se vêtir, se protéger du froid et de la pluie, des ronces et des pierres ; ils les attèlent pour ouvrir plus profond le ventre de la terre avec le soc, puis semer ou planter; ils les gardent auprès du feu comme protecteurs capables d’éloigner d’autres bêtes dangereuses ou d’alerter la tribu assoupie en cas de danger; ils les chevauchent pour guerroyer; ils les égorgent pour être agréables aux dieux.
Des millénaires plus tard, nous ne sommes guère plus loin…


Une part d’immortel
Les animaux n’ayant pas d’âme, on conclut qu’ils n’ont pas de langage, d’intelligence, de sentiment, d’affects. Mais quelle est la mesure de l’âme ? Quels sont les critères du langage, de l’intelligence, etc ? L’homme se fait la mesure de toute choses. Dès lors, il extrapole ses fantasmes aussi loin qu’il le peut : sa peur de la mort lui fait inventer un arrière monde dans lequel les trépassés restent éternellement vivants. Pour ce faire, l’astuce consiste à doter le mortel d’une part immortelle.

Elle sera donc invisible, immatérielle, un genre de parcelle de la divinité en nous avec laquelle nous pourrions entamer un dialogue avec l’au-delà. Sur le principe que le même va vers le même, l’âme est faite du bois dont on fait Dieu et l’arrière monde. Les animaux se trouvent exclus de cette fiction : les hommes qui ont une âme ont décidé qu’ils n’ont pas d’âme…

À quoi, en effet, conduirait l’hypothèse d’une âme pour les animaux ? Un paradis pour les hérissons, un enfer pour les ténias, un purgatoire pour les rats ? La fiction chrétienne a postulé l’existence du libre arbitre en l’homme : pour pouvoir être puni, il faut être coupable, pour pouvoir être coupable, il faut être déclaré responsable, pour pouvoir être responsable, il faut bien que nous soyons dotés d’une capacité à choisir, autrement dit : à faire volontairement le bien ou le mal. Donc, nous avons une âme…
Les animaux, c’est bien connu, n’ont ni liberté, ni libre arbitre, ils incarnent la quintessence du déterminisme : ils sont condamnés à répéter leur être — comme si Darwin ne donnait pas tort à cette bêtise ! Les bêtes, qui pourtant ne sont pas bêtes, sont donc assimilables aux arbres ou aux pierres, au restant de la nature. L’homme est bien le sommet de la création, il dispose donc du droit de faire ce qu’il veut de tout ce qui n’est pas lui.


Différence de degré
La tradition philosophique est dualiste, spiritualiste, chrétienne, kantienne, autrement dit, elle avalise la pensée chrétienne sur la question de l’animal.
De Platon à Heidegger via Augustin, Descartes et Kant, la philosophie dominante, institutionnelle, universitaire, celle qu’on lit en classe de philo, traduit, édite en livre de poche, travaille à l’université, cette pensée là, donc, elle s’affirme en général spéciste.
En revanche, en avançant sur le terrain de la philosophie oubliée, négligée, méprisée, persécutée par l’idéologie dominante, et ce pour mon projet de contre-histoire de la philosophie, j’ai découvert depuis bientôt dix années une tradition singulière : celle des philosophes monistes, matérialistes, atomistes, abdéritains, épicuriens, pour lesquels il n’y a pas, comme pour les chrétiens, une différence de nature entre l’homme et l’animal, mais une différence de degré.

Ce qui change tout…


Les atomes qui constituent les planètes, ceux qui structurent le grain de sable, les particules de l’infiniment grand et celles de l’infiniment petit, les molécules qui composent un philosophe et celles qui donnent son âme (matérielle) à une baleine, ce sont les mêmes… Les matérialistes l’enseignent : il n’existe qu’une seule substance diversement modifiée. L’astrophysicien le prouve : nous effectuons tous des variations multiples sur le thème d’une seule et même étoile effondrée il y a plusieurs milliards d’années. Dès lors, il n’y a pas les hommes — et le reste du monde, dont les animaux; mais les hommes, le reste du monde, les animaux comme autant de variations sur un même thème: celui de la matière.


Ce qui change tout.


Car on ne regarde plus de la même manière les animaux si l’on s’installe dans une position surplombante ou si l’on adopte un autre point de vue, égalitaire. Si l’animal est notre prochain, une partie mémorielle de nous-mêmes, ce que je crois, alors il y a en eux ce qui se trouve aussi en nous, mais que des millénaires d’acculturation ont recouvert, contraint, écrasé, affecté, amoindri, méprisé, négligé, détruit, massacré, maltraité. Autrement dit : une nature brute et directe, une horloge impeccable, un sismographe hypersensible, une sensitivité exacerbée, une vérité simple à être, une matérialité cosmique, une pure présence immanente, une force tranquille, une affectivité immédiate, une vitalité préhistorique.


Monstres, les animaux?

La culture a longtemps été un art de comprendre la nature afin d’y trouver sa place: l’animisme, le totémisme, le polythéisme, le paganisme témoignent en ce sens, et ce pendant des millénaires . Puis, avec l’avènement des cités et le rouleau compresseur monothéiste qui veut des textes et des bibliothèques, des scribes et des prêtres, la culture est devenue ratiocination de cabinet. Le paysan a cessé d’être le modèle, Virgile a laissé place au clergé d’une secte qui a cessé de lire la vérité du monde dans les étoiles, comme les animaux et les paysans, pour se pencher funestement sur les grimoires et les parchemins.
Donc, Darwin nous enseigne une vérité considérable: il n’y a pas de différence de nature mais une différence de degré entre l’homme et l’animal. Dès lors, oublieux de ce dont nous provenons, ingrats quant à notre parentèle immémoriale, arrogants quand il s’agit de rappeler que notre boîte crânienne contient toujours ( aussi et encore…) un cerveau reptilien, nous sommes devenus bien souvent des monstres — ce que ne sont jamais les animaux.


Monstre celui qui jouit de tuer, jubile à faire souffrir, monstre l’être dépravé qui met à mort pour le simple plaisir de supprimer une vie, monstre celui qui fait de la mort un spectacle, monstre l’être qui exulte à effacer de la planète l’être d’un être: y a-t-il l’équivalent d’Auschwitz , de Gilles de Rais, de saint Hubert , de Savonarole ou d’El Cordobès chez les animaux ? Non. Un animal tue pour manger. Repu, il ne met jamais à mort son prochain—lui.

Il existe donc une humanité chez les animaux qui pourrait donner des leçons à ceux de nos semblables qui manifestent une animalité ( mais on vient de le voir, le mot ne convient pas…) dans leur hypothétique humanité.
Dès lors, on pourrait imaginer que l’éthologie puisse remplacer la théologie pour fonder une éthique post-moderne. Loin de croire qu’il nous faut nous dénaturer pour être véritablement des hommes, je pense que nous devons bien plus tôt nous ensauvager afin de prendre les leçons données par les animaux : ne pas
tourner le dos au cosmos, ne pas ignorer la nature, ne pas feindre de n’avoir rien à voir avec ce qui n’est pas nous, écouter ce que nous enseigne l’arbre,ce que nous apprend l’herbe, ce que nous disent les animaux , et ce afin de parfaire notre humanité.


Alors peut-être pourra-t-on envisager que, moins séparés de la nature, plus soucieux de ses leçons de sagesse, nous soyons moins pervers, moins débiles, moins tordus, moins faux, moins menteurs, moins fourbes et hypocrites, moins névrosés, moins psychopathes, moins agressifs.

La culture n’est pas une anti-nature, ni une contre-nature, mais un art de sculpter la nature.
Mais ceci est une autre histoire…


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15 novembre 2012 4 15 /11 /novembre /2012 11:16


Aan remercie de tous ses plombs ceux qui utilisent de l’huile de palme !

 

Cet "incident" (euphémisme cynique) prouve, une fois de plus, qu'Homo sapiens est un sale type.

 

 

 

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Une femelle orang-outan a été retrouvée vivante sur l'île de Bornéo, criblée de 104 plombs de chasse : 37 dans la tête, 67 dans le reste du corps, a indiqué un responsable d'une agence de protection des animaux.

 

La femelle, baptisée "Aan", a été découverte le 10 octobre, aveugle d'un œil et grièvement blessée, dans une plantation de palmiers à huile sur la partie indonésienne de l'île de Bornéo, où la déforestation massive est accusée de menacer la survie de l'espèce. Les défenseurs des animaux qui l'ont retrouvée n'étaient pas très optimistes quant à ses chances de survie, mais le grand singe semble pouvoir échapper à la mort.

 

"Elle se bat de toutes ses forces. Elle est grièvement blessée, mais elle commence à s'alimenter, ce qui nous donne de l'espoir", a déclaré à l'AFP Hartono, responsable de l'agence locale de protection des animaux. "Nous allons peut-être pouvoir la relâcher, mais nous craignons pour sa survie", l'animal risquant de perdre son second œil, a indiqué Hartono.

 

Les auteurs des coups de feu ne sont pas connus, mais il est courant que les animaux piégés dans les plantations de palmiers à huile, qui ont empiété sur leur habitat, soient abattus. Quatre hommes ont été condamnés en avril à huit mois de prison pour avoir tué par balles trois orangs-outans sur une plantation de palmiers à huile qui se situe également sur l'île de Bornéo. Les coupables avaient été payés par la plantation pour la débarrasser des animaux jugés nuisibles.

 

Selon les experts, il ne reste qu'entre 50 000 à 60 000 orangs-outans vivant à l'état sauvage, dont 80 % en Indonésie et en Malaisie.

 

(Source : AFP)

 

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Homo sapiens : sale type !

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/homo-sapiens-sale-type-120453

 

Michel Tarrier

Écologue, écosophe

http://www.amazon.fr/Nous-Peuple-dernier-Survivre-bient%C3%B4t/dp/2296105629

 

 

 

 

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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 14:17

 

J’en ai mangé, pas vous ?

 

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Écoute, cela ne pourra que tu faire du bien :

http://www.youtube.com/watch?v=QjorHmlFoq8

 

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Mais bon sang de bon sang !

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/mais-bon-sang-de-bon-sang-120231

 


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Pour des tickets de rationnement de viande

http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/pour-des-tickets-de-rationnement-107341

 

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Le spécisme ordinaire

http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/le-specisme-ordinaire-104164

 

 

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La ferme antichambre des abattoirs

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-ferme-antichambre-des-abattoirs-100334

 

 

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Tout est bon dans le cochon

http://www.facebook.com/notes/michel-tarrier/tout-est-bon-dans-le-cochon/10150652875818859

 

Michel Tarrier.

Écologue, écosophe, un demi-siècle d’alimentation carnée                                                                                      

 

 

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12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 10:33

 

L’eurodéputé Yves Cochet d'Europe Ecologie-Les Verts (EELV) aimerait bien que l’Europe suive la trace de la Californie qui, en juillet dernier, a interdit le foie-gras. Le 18 octobre dernier, avec d’autres députés européens, il a réclamé, l’interdiction de la production et de la vente de foie-gras dans l’Union Européenne. BRAVOOOOOOOOOOOOOOO

VOTONS EN MASSE

ET 2 PETITIONS CONTRE LE FOIE GRAS

 

Et aussi, dernière nouvelle

http://www.socopag.com/index.php/origines-et-qualites/o-q-hebdo/512-foie-gras-interdit-de-vente-chez-coop-italie         Foie gras interdit de vente chez Coop italie

 

Merci de voter pour l'interdiction du foie gras en Europe.
 

http://tianplus.blogs.nouvelobs.com/archive/2012/11/02/polemique-etes-vous-pour-l-interdiction-du-foie-gras-en-euro.html

Les anciens de " le post .fr " retrouveront leurs amis de combat !

_________________________________________
 
 VOTE  cliquez sur ce lien

__._,_.___http://action.peta.org.uk/ea-action/action?ea.client.id=5&ea.campaign.id=16702&ea.tracking.id=W2HFGA3004&forwarded=true



 LA PETITION A SIGNER : prénom, nom, et votre mail et on clique sur « SUBMIT »

http://www.thepetitionsite.com/10/we-the-undersigned/     pétition à signer


 

http://www.socopag.com/index.php/origines-et-qualites/o-q-hebdo/512-foie-gras-interdit-de-vente-chez-coop-italie

 

 

 

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11 novembre 2012 7 11 /11 /novembre /2012 11:13

 

www.ecologie-radicale.org

La lettre de Gérard CHAROLLOIS              LE DIMANCHE 11 novembre 2012

TEL 06 76 99 84 65

 

               Bruits de bottes vertes et cliquetis de tiroirs caisses.

 

Pendant que des hommes en armes et en rage de tuer occupent les campagnes au détriment de tous les usagers pacifiques de la nature, que les politiciens sans honneur font la danse du ventre devant les cynégécrates en violation des aspirations de la majorité des citoyens, les structures corporatistes du lobby chasse soumettent l’Etat.

 

Après son édifiant rapport de décembre 1999,, la cour des comptes, par avis de référé de sept pages daté du 27 juillet 2012, épingle les abus, dérives financières d’un Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage aux mains des dirigeants cynégétiques.

Ces abus se sont aggravés pendant les sept dernières années.

Etonnant n’est-ce pas !

 

La cour constate que grâce aux somptueux cadeaux faits par le calamiteux gouvernement RAFFARIN BACHELOT de 2002 à 2005, l’argent public coule à flot vers les caisses de cet établissement public dont le conseil d’administration est tenu par les gens de la chasse, depuis la régression résultant de la loi du 23 février 2005.

Que révèle ce rapport ?

Le budget de cet établissement public a augmenté de 30 % de 2004 à 2011 et que dans ce budget la part des taxes fiscales perçues au titre des validations de permis de chasser est passée de 86 % à 60 %.

 

La cour des comptes explique cette réduction de la part de financement provenant du monde de la chasse par la réduction du nombre des chasseurs, ce dont il faut se réjouir, mais aussi par un accroissement du financement public au titre des charges de missions d’intérêt général !

 

Et la cour de relever des comportements partisans de cet office dont le conseil d’administration est présidé, bien évidemment, par un président de fédération départementale des chasseurs. Ainsi, elle souligne que des partenariats ont été abandonnés avec la LIGUE POURLA PROTECTION DES OISEAUX, cette association ayant sans doute manqué de docilité envers sa majesté cynégétique.

Surtout on peut lire, en ce convaincant rapport, que l’Office aurait perdu des procès au profit de 38 fédérations départementales de chasseurs ce qui absorba des fonds importants.

Tout de même singulier qu’un établissement public dont le conseil d’administration est  contrôlé par les chasseurs, que préside un président de fédération départementale, perde des procès contre lesdites fédérations !

À suivre !

 

 

Pour conserver un minimum de crédibilité, un établissement public doit être indépendant de tout groupe de pression et au seul service de l’intérêt général radicalement inverse de celui du loisir de mort.

Comment les études ornithologiques conduites par un organisme ainsi étroitement contrôlé pourraient-elles justifier une réduction du temps d’ouverture de la chasse, alors que le lobby s’est constamment battu devant les tribunaux administratifs pour nier les phénomènes migratoires en fin d’hiver ?

 

 

Une impérieuse réforme consisterait à démanteler les structures corporatistes de la chasse française héritées de l’ordonnance PETAIN du 28 juin 1941 qui créa les « sociétés départementales des chasseurs » devenues fédérations.

Ces associations militantes bénéficient de l’adhésion obligatoire et de la cotisation de tout chasseur. Elles obtinrent d’une classe politique servile des prérogatives exorbitantes du droit commun, jouissant d’un quasi-monopole sur une faune qu’elles réduisent à du « gibier ».

 

En démocratie, la chasse devrait s’organiser, comme toute activité, sur des bases de droit commun, c’est-à-dire en libres et concurrentes associations.

L’office national en charge de la faune sauvage devrait garantir l’intérêt général de la préservation de la nature en se libérant de l’empprise des cynégécrates.

Aussi longtemps que ces réformes élémentaires ne seront pas accomplies, la France ne sera pas un Etat de droit, mais connaîtra des dérives scandaleuses.

Si l’argent public était seul en cause, l’affaire relèverait  des juridictions budgétaires compétentes, mais les animaux sauvages, la tranquillité des citoyens, la sécurité des randonneurs, les souhaits de 87 % des Français de voir protéger l’animal  sauvage des actes de mauvais traitements sont piétinés.

 

 

Parlementaires, ayez un sursaut de dignité !

Ecoutez les appels des citoyens à en finir avec les privilèges d’une minorité qui s’approprie l’espace et la nature !

Un animal, être sensible, n’est jamais un « gibier » et la biodiversité agonisante exige une protection intégrale et non une imposture qu’ils appellent « gestion ».

 

La chasse : un crime contre le vivant, une nuisance pour les habitants des campagnes, un puits pour l’argent public, un révélateur de la médiocrité de la classe politique, un discriminant entre esprits résistants et pusillanimes, une aberration corporatistes dans une société démocratique, une illustration du conformisme de la presse de province qui pour complaire à ce qu’elle imagine être son lectorat recopie sans le moindre recul les communiqués de l’indigente propagande du lobby,  voilà qui mérite la mobilisation de tous ceux qui n’aiment ni la violence, ni le corporatisme, ni la loi des lobbies.

 

En ce pays, ceux qui osent s’opposer à cette féodalité sont censurés, ostracisés, marginalisés dans les organes consultatifs et au besoin, menaces dérisoires, dénoncés aux tribunaux comme délinquants !

 

La chasse à la Française est le seul loisir au monde qui obtint des gouvernants une protection pénale spécifique puisque son entrave devint une contravention selon un décret du 4 juin 2010.

 

Les cynégécrates virent dans cette réglementation la preuve rassurante de leur influence sur le personnel politique, alors qu’un tel décret constitue un formidable aveu de faiblesse et de peur face à une contestation qui se lève et que les murs de la Bastille chasse ne parviendront pas à contenir.

 

 

 Il y a plus sinistre, plus honteux, plus inquiétant que les bruits de bottes et les cliquetis des tiroirs caisses, c’est le silence des lâches !

Lâches, ceux qui sans tuer eux-mêmes peuvent sans frémir entendre les détonations des armes à feu dont les projectiles déchirent les chairs et broient les os !

 

Lâches, ces hauts fonctionnaires et décideurs qui préfèrant une injustice à un prétendu désordre  n’osent pas combattre le braconnage !

 

Lâches, ces élus qui mesurent parfaitement la nocivité des destructions de faune mais imaginent démagogique de relayer les exigences de quelques centaines de tueurs qui veulent ici ou là piéger « la galinette cendrée », sous prétexte que les anciens qui sentaient bon la terre qui ne ment pas, le faisaient !

 

Lâches, ces rédacteurs d’articles s’alarmant devant la prolifération des sangliers sans chercher à savoir que la chasse est le problème et non la solution !

 

A-t-on encore, en ce pays, la liberté de le dire ?

La chasse n’est pas réformable. Il faut l’abolir.

            Gérard  CHAROLLOIS

CONVENTION VIE ET NATURE

MOUVEMENT D’ECOLOGIE ETHIQUE ET RADICALE

 

POUR LE RESPECT DES ÊTRES VIVANTS ET DES EQUILIBRES NATURELS.

 

 

 

 

 

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